Nappe du Plio-Quaternaire aquitain

Description

Système aquifère du Plio-Quaternaire
Ce système aquifère   libre correspond à un vaste ensemble multi-couches, sablo-argileux, composé par les formations du Miocène supérieur au Quaternaire. Ce multicouche essentiellement sableux, entre Gironde-Garonne-Adour-Midouze et littoral, correspond au Sables des Landes, au Plio-quaternaire, aux aquifères   semi-captifs du Pliocène et du Miocène.

Cet aquifère   qui s’épaissit d’est en ouest (où il peut atteindre une centaine de mètres) constitue un réservoir aquifère   très étendu, à nappe   libre drainée par les rivières, ruisseaux et canaux artificiels. Il s’écoule en direction de la Garonne pour une faible part, et surtout vers l’ouest où il alimente les étangs alignés de Hourtin, Lacanau, Cazaux, Parentis, etc.

Il faut noter le rôle de relais de cette nappe   directement alimentée par les pluies, qui alimente à son tour, pour l’essentiel, les nappes   des couches du Miocène, et de l’Oligocène sous-jacents. Sa recharge est rapide et d’une année sur l’autre, les réserves sont généralement reconstituées.

La grande majorité des forages est utilisée pour l’agriculture. Cet aquifère   est aussi utilisé pour la défense contre l’incendie, l’arrosage individuel et collectif. Il est particulièrement vulnérable (teneurs en nitrates, pesticides, fer élevées).

Etat de la nappe   d’eau souterraine

Vous trouverez ci-dessous les bilans des niveaux d’eaux souterraines, établi chaque mois, pour le Bulletin de Surveillance Hydrologique.

  • Etat en octobre 2023
    IPS Hormis le cas particulier de Saucats (33, sud Bordeaux, niveau modérément bas), les 4 autres indicateurs ponctuels présentent désormais un niveau modérément haut. Si l’influence du niveau de Saucats classe l’IPS moyen dans la catégorie autour de la moyenne, il est toutefois désormais très proche de la classe modérément haut.
    Evolution des niveaux moyens mensuels Signe d’une période de recharge bien entamée sous l’influence des précipitations océaniques dans ce secteur, les niveaux sont orientés à la hausse pour 4 des 5 indicateurs. La seule exception concerne le piézomètre de Campet-et-Lamolère (40, ouest Mont-de-Marsan), le plus au sud et le plus éloigné de la façade atlantique.
    Evolution de l’IPS La recharge observée en ce mois d’octobre est conforme à la normale puisque l’IPS reste stable pour 4 des 5 indicateurs ponctuels. L’exception vient cette fois du piézomètre de Lanton (33, O-SO Bordeaux), dont le niveau passe de proche de la moyenne à modérément haut.
    Année de référence Octobre 2008.
    Sectorisation des comportements En mettant à part le cas de Saucats, les niveaux sont relativement homogènes. La réponse aux premières précipitations varie toutefois suivant les secteurs, et la recharge est plus lente à se faire ressentir dans le sud de l’ensemble aquifère  .
    En résumé Comme les mois précédents, la situation du Plio-Quaternaire aquitain apparaît plus favorable que l’an dernier, où la longue sécheresse avait impacté les niveaux. En octobre, elle est même relativement comparable à la situation de 2021, sans toutefois atteindre les niveaux particulièrement hauts de 2020.
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  • Etat en juin 2023
    IPS Avec un niveau haut (Le Temple, 33, ouest Bordeaux), un niveau modérément haut (Campet-et-Lamolère, 40, ouest Mont-de-Marsan) et deux niveaux autour de la moyenne, contre un niveau bas (Saucats, 33, sud Bordeaux), la situation du Plio-Quaternaire est loin d’être défavorable, avec un niveau globalement autour de la moyenne, malgré l’influence du cas particulier de Saucats (prélèvements, tendance à la baisse).
    Evolution des niveaux moyens mensuels A l’exception de Le Temple, dont le niveau est orienté à la hausse, tous les niveaux sont orientés à la baisse, ce qui est dans la normale pour un mois de juin.
    Evolution de l’IPS Deux évolutions de l’IPS sont enregistrées en juin : +1 classe pour Campet-et-Lamolère, +2 classes pour Le Temple. Cela traduit une décharge globalement un peu inférieure à la normale en juin pour cet aquifère  .
    Année de référence Juin 2019.
    Sectorisation des comportements En mettant à part le cas de Saucats, on constate que les niveaux les plus élevés sont les points les plus au nord et au sud du système aquifère  .
    En résumé La situation du Plio-Quaternaire aquitain est plus favorable que l’an dernier, où la longue sécheresse avait impacté les niveaux. Toutefois, si elle est comparable à 2019, elle reste moins bonne que les années 2020 et 2021, qui avaient été nettement plus humides que la normale.
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  • Etat en mars 2023
    IPS Globalement autour de la moyenne, mais avec plus de niveaux supérieurs à la moyenne (1 modérément haut, 1 haut) que d’inférieurs (1 bas, toujours Saucats , 33, sud Bordeaux).
    Evolution des niveaux moyens mensuels Partout en hausse, à une exception près dans le sud du système aquifère   (Campet-et-Lamolère, 40, ouest Mont-de-Marsan avec un niveau en baisse).
    Evolution de l’IPS Globalement en hausse d’une classe, voire deux (Le Temple, 33, ouest Bordeaux), à une exception près (Campet-et-Lamolère, baisse d’une classe).
    Année de référence Mars 1999.
    Sectorisation des comportements Recharge marquée dans le nord du système aquifère  , autour de la région bordelaise, alors que plus au sud, la situation a été nettement moins favorable.
    En résumé Le secteur le plus favorable du bassin   Adour-Garonne, avec un IPS qui serait probablement modérément haut si on excluait du calcul le piézomètre de Saucats au comportement particulier.
    Cas particulier pour ce mois de mars : la situation dans le sud de l’ensemble aquifère  , autour de Mont-de-Marsan, où les précipitations ont été moins nombreuses et la recharge absente.
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  • Etat en février 2023
    Pour les indicateurs ponctuels de la nappe   du Plio-Quaternaire aquitain, les niveaux sont partout orientés à la hausse en janvier 2023 et majoritairement stables en février, les exceptions concernant les piézomètres de Saucats (33, sud Bordeaux) et Ychoux (40, sud bassin   d’Arcachon), où les niveaux sont restés à la hausse.
    Quant à l’IPS, il a augmenté d’une classe depuis fin 2022 à l’ouest de Bordeaux (Le Temple et Lanton), où le niveau est passé de modérément bas à proche de la moyenne. Signe d’une recharge globalement proche de la normale lors de ces deux premiers mois de 2023, l’IPS est resté identique pour les 3 autres piézomètres, mais avec des valeurs très différentes : niveau modérément haut à Campet-et-Lamolère (40, ouest Mont-de-Marsan), modérément bas à Ychoux et très bas à Saucats.
    Rappelons que pour ce piézomètre, au battement saisonnier plus important que les autres, marqué par de très fortes baisses du niveau piézométrique   pendant l’été, l’IPS est systématiquement inférieur à la moyenne depuis la mise en place de cet indicateur début 2017, à l’exception de 7 mois en 2020 et 2021. Ces résultats suggèrent une tendance à la baisse sur la chronique, même si l’absence de données quotidiennes avant juin 2008 ne permet pas d’étayer mathématiquement cette analyse.
    Fin février, les niveaux étaient partout supérieurs au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 0,9 à 1,4 m, à l’exception de Campet-et-Lamolère, au battement plus faible, où le niveau n’est que 35 cm au-dessus du HMNA.
  • Etat en décembre 2022
    Pour les indicateurs ponctuels de la nappe   du Plio-Quaternaire aquitain, les niveaux sont partout orientés à la hausse en décembre 2022.
    Quant à l’IPS, s’il est resté stable à Le Temple (33, ouest Bordeaux, niveau modérément bas) et à Saucats (33, sud Bordeaux, niveau très bas), il a augmenté d’une classe pour les deux autres piézomètres disposant de suffisamment de données, passant de bas à modérément bas aussi bien à Lanton (33, O-SO Bordeaux) qu’à Ychoux (40, sud bassin   d’Arcachon), signe d’une recharge un peu excédentaire dans ces secteurs.
    A l’échelle du système aquifère  , les niveaux sont donc désormais partout modérément bas à l’exception de Campet-et-Lamolère (40, ouest Mont-de-Marsan, pas de données mais niveau proche de la moyenne en novembre) et Saucats. Rappelons que pour ce piézomètre, au battement saisonnier plus important que les autres, marqué par de très fortes baisses du niveau piézométrique   pendant l’été, l’IPS est systématiquement inférieur à la moyenne depuis la mise en place de cet indicateur début 2017, à l’exception de 7 mois en 2020 et 2021. Ces résultats suggèrent une tendance à la baisse sur la chronique, même si l’absence de données quotidiennes avant juin 2008 ne permet pas d’étayer mathématiquement cette analyse.
    Fin décembre, le niveau y restait donc inférieur au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 47 cm, mais en hausse de près d’1 m depuis fin octobre. Dans les autres piézomètres, le niveau est repassé au-dessus du HMNA, de 68 (Ychoux) à 90 cm (Lanton).
  • Etat en septembre 2022
    Pour les indicateurs ponctuels de la nappe   du Plio-Quaternaire aquitain, les niveaux restent orientés à la baisse en septembre 2022 pour 3 des 4 indicateurs disposant de données, mais il s’est stabilisé à Le Temple (33, ouest Bordeaux).
    Quant à l’IPS, signe d’une évolution proche de la normale, il n’a changé que pour Le Temple, passant de modérément bas à proche de la moyenne. Cet indicateur reste une exception dans la nappe   du Plio-Quaternaire, car les niveaux restent bas à Lanton (33, ouest Bordeaux) et très bas à Ychoux (40, sud bassin   d’Arcachon) et Saucats (33, sud Bordeaux).
    Rappelons que pour ce dernier piézomètre, au battement saisonnier plus important que les autres, marqué par de très fortes baisses du niveau piézométrique   pendant l’été, l’IPS est systématiquement inférieur à la moyenne depuis la mise en place de cet indicateur début 2017, à l’exception de 7 mois en 2020 et 2021. Ces résultats suggèrent une tendance à la baisse sur la chronique, même si l’absence de données quotidiennes avant juin 2008 ne permet pas d’étayer mathématiquement cette analyse.
    Fin septembre, le niveau y était donc inférieur au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 1,8 m, en hausse toutefois de 70 cm par rapport à fin août. Dans les autres piézomètres, le niveau est resté sous le HMNA, de 1,5 (Le Temple) à 54 cm (Ychoux).
  • Etat en août 2022
    Pour les indicateurs ponctuels de la nappe   du Plio-Quaternaire aquitain, les niveaux sont partout orientés à la baisse en août 2022.
    Quant à l’IPS, signe d’une décharge proche de la normale, il a de nouveau baissé d’une classe à Ychoux (40, sud bassin   d’Arcachon), mais est remonté d’une classe au Temple (33, ouest Bordeaux) et à Campet-et-Lamolère (40, ouest Mont-de-Marsan). A Saucats (33, sud Bordeaux), l’IPS est quant à lui resté au niveau très bas qu’il avait atteint dès le mois de mai. Il est également désormais très bas à Ychoux, tandis qu’il reste bas à Lanton (33, ouest Bordeaux).
    Fin août, le niveau à Saucats était donc inférieur au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 2,5 m. Pour les autres piézomètres, le niveau est resté sous le HMNA : de quelques mm (Le Temple, Campet-et-Lamolère) à 57 cm (Ychoux).
  • Etat en juillet 2022
    Pour les indicateurs ponctuels de la nappe   du Plio-Quaternaire aquitain disposant de données pour ce mois de juillet 2022, les niveaux sont partout orientés à la baisse.
    Quant à l’IPS, signe d’une décharge une nouvelle fois plus forte que la normale, il a baissé d’une classe à Ychoux (40, sud bassin   d’Arcachon), au Temple et à Lanton (33, ouest Bordeaux), où les niveaux sont passés de modérément bas à bas. A Saucats (33, sud Bordeaux), l’IPS est quant à lui resté au niveau très bas qu’il avait atteint dès le mois de mai.
    Rappelons que pour ce piézomètre, au battement saisonnier plus important que les autres, marqué par de très fortes baisses du niveau piézométrique   pendant l’été, l’IPS est systématiquement inférieur à la moyenne depuis la mise en place de cet indicateur début 2017, à l’exception de 7 mois en 2020 et 2021. Ces résultats suggèrent une tendance à la baisse sur la chronique, même si l’absence de données quotidiennes avant juin 2008 ne permet pas d’étayer mathématiquement cette analyse.
    Fin juillet, le niveau y était ainsi déjà inférieur au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 1,47 m. Pour les trois autres piézomètres, le niveau est passé sous le HMNA au cours du mois de juillet, de peu au Temple et à Lanton (-1 cm fin juillet), mais de 29 cm à Ychoux.
  • Etat en juin 2022
    Pour les indicateurs ponctuels de la nappe   du Plio-Quaternaire aquitain, disposant de données pour ce mois de juin 2022, les niveaux sont partout orientés à la baisse.
    Quant à l’IPS, signe d’une décharge plus forte que la normale ces deux derniers mois, il a baissé de deux classes (une par mois) à Le Temple et à Lanton (33, ouest Bordeaux) et d’une classe à Saucats (33, sud Bordeaux), passant de bas à très bas dès le mois de mai. L’IPS de Ychoux (40, sud bassin   d’Arcachon) est resté stable depuis mars, avec un niveau modérément bas, ce qui est désormais également le cas de Le Temple et de Lanton.
    Rappelons que pour le piézomètre de Saucats, au battement saisonnier plus important que les autres, marqué par de très fortes baisses du niveau piézométrique   pendant l’été, l’IPS est systématiquement inférieur à la moyenne depuis la mise en place de cet indicateur début 2017, à l’exception de 7 mois en 2020 et 2021. Ces résultats suggèrent une tendance à la baisse de la chronique, même si l’absence de données quotidiennes avant juin 2008 ne permet pas d’étayer mathématiquement cette analyse.
    Fin juin, le niveau du piézomètre de Saucats était ainsi déjà inférieur au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 43 cm, tandis qu’il reste supérieur au HMNA de 25 à 45 cm partout ailleurs.
  • Etat en mai 2022
    Données non disponibles.
  • Etat en avril 2022
    L’évolution des niveaux est contrastée pour les indicateurs ponctuels disposant de données en ce mois d’avril 2022, à l’instar de ce qui avait été constaté en février. Ainsi, si la stabilité, tendance majoritaire ces deux derniers mois, est toujours de mise au Temple et à Lanton (33, ouest Bordeaux), la tendance à la baisse observée à Saucats (33, sud Bordeaux) l’est également à Ychoux (40, sud bassin   d’Arcachon).
    Quant à l’IPS, signe que cette décharge est conforme à la normale pour un mois d’avril, il n’a pas évolué à Ychoux (niveau modérément bas) et Saucats (niveau bas). Il a, par contre, augmenté d’une classe à Le Temple et à Lanton, où les niveaux sont désormais modérément hauts, en l’absence de décharge ce mois dernier.
    Rappelons que pour le piézomètre de Saucats, au battement saisonnier plus important que les autres, marqué par de très fortes baisses du niveau piézométrique   pendant l’été, l’IPS est systématiquement inférieur à la moyenne depuis la mise en place de cet indicateur début 2017, à l’exception de 7 mois en 2020 et 2021. Ces résultats suggèrent une tendance à la baisse sur la chronique, même si l’absence de données quotidiennes avant juin 2008 ne permet pas d’étayer mathématiquement cette analyse.
    Fin avril, les niveaux étaient partout supérieurs au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 0,9 à 1,2 m.
  • Etat en mars 2022
    Les niveaux sont majoritairement stables pour les indicateurs ponctuels de la nappe   du Plio-Quaternaire aquitain disposant de données pour ce mois de mars 2022, à l’instar de ce qui avait été constaté en février. La seule exception concerne le piézomètre de Saucats (33, sud Bordeaux), dont le niveau est orienté à la baisse.
    Quant à l’IPS, signe d’une recharge conforme à la normale pour un mois de mars, il a peu varié par rapport à février, avec une baisse d’une classe pour un indicateur (Ychoux, 40, sud bassin   d’Arcachon) et une stabilité pour les trois autres, disposant de mesures. Les niveaux restent donc proches de la moyenne (Le Temple, 33, ouest Bordeaux et Lanton, 33, O-SO Bordeaux) et deviennent modérément bas à Ychoux. Enfin, le niveau reste bas à Saucats.
    Toutefois, pour ce piézomètre au battement saisonnier plus important que les autres, marqué par de très fortes baisses du niveau piézométrique   pendant l’été, l’IPS est systématiquement inférieur à la moyenne depuis la mise en place de cet indicateur début 2017, à l’exception de 7 mois en 2020 et 2021. Ces résultats suggèrent une tendance à la baisse pour la chronique, même si l’absence de données quotidiennes avant juin 2008 ne permet pas d’étayer mathématiquement cette analyse.
    Fin mars, les niveaux étaient partout supérieurs au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 0,8 à 1,3 m. A l’exception de Saucats (-14 cm), le niveau a partout baissé de 4 à 8 cm pendant le mois de mars.
  • Etat en février 2022
    Les niveaux sont partout stables pour les indicateurs, disposant de données pour ce mois de février 2022, ce qui constitue une originalité à l’échelle du bassin   Adour-Garonne.
    Quant à l’IPS, signe d’une recharge somme toute conforme à la normale, il a peu varié ces deux derniers mois, avec une baisse d’une classe pour deux indicateurs et une stabilité pour les deux autres. Les niveaux restent donc majoritairement proches de la moyenne (Le Temple, 33, ouest Bordeaux ; Lanton, 33, O-SO Bordeaux et Ychoux, 40, sud bassin   d’Arcachon). Le quatrième point disposant de données (Saucats, 33, sud Bordeaux) a désormais un niveau bas, après cinq mois consécutifs de niveau modérément bas. Toutefois, pour ce piézomètre au battement saisonnier plus important que les autres, marqué par de très fortes baisses du niveau piézométrique   pendant l’été, l’IPS est systématiquement inférieur à la moyenne depuis la mise en place de cet indicateur début 2017, à l’exception de 7 mois en 2020 et 2021. Ces résultats suggèrent une tendance à la baisse de la chronique, même si l’absence de données quotidiennes avant juin 2008 ne permet pas d’étayer mathématiquement cette analyse.
    Fin février, les niveaux étaient partout supérieurs au niveau d’étiage moyen (HMNA) de 0,96 à 1,56 m. Toutefois, les niveaux ont baissé d’une dizaine de centimètres par rapport à fin 2021, à la seule exception du piézomètre de Saucats (+16 cm).

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