Actualités d’août 2025

Le niveau des nappes  

Consultez les informations (graphiques, tableaux, explications) concernant le suivi du niveau des nappes   d’eau souterraine :

• à l’échelle du bassin Adour-Garonne ;
• pour la Gironde ;
• pour le Lot-et-Garonne ;
• à l’échelle de la France métropolitaine (carte du 1^er août).

Evènement

Journée thématique à l’attention des élus et des acteurs du territoire, chargés de gérer la ressource en eau :

• « Ralentir l’eau, un enjeu commun pour adapter nos territoires »
  
• par l’Agence de l’eau Adour-Garonne et la Plateforme des bonnes pratiques pour l’eau du grand Sud-Ouest, sous l’égide de l’Entente pour l’eau et en partenariat avec idealCO
• le vendredi 3 octobre 2025, de 08h30 à 16h30
• à l’Hôtel de région de la Nouvelle-Aquitaine (Bordeaux)

Avec les effets de plus en plus marqués du changement climatique, la gestion des écoulements dans les bassins versants est devenue un sujet stratégique. Ralentir l’eau, c’est limiter les risques d’inondations, favoriser l’infiltration dans les sols, préserver la ressource et renforcer la résilience des territoires.

pour consulter le programme et s’inscrire

Lecture

de l’article intitulé « Comment la modélisation peut aider à mieux gérer la ressource en eau », publié sur le site The Conversation (juillet 2025).

Expérimentation : valorisation des eaux pluviales

Un site expérimental de valorisation des eaux pluviales a été inauguré à Mérignac, en Gironde, au mois de juillet 2025. Ce projet vise à réinfiltrer, dans la nappe   du Plio-Quaternaire, des eaux pluviales traitées, à des fins d’usages qui ne nécessitent pas une qualité potable de l’eau : arrosage d’espaces verts, nettoyage, etc.
Le BRGM Nouvelle-Aquitaine a pris une part active lors de la phase de conception du projet.

Les eaux sont récupérées dans le bassin   de retenue de Beaudésert, acheminées dans deux bassins plantés de roseaux où elles sont filtrées, puis envoyées dans un bassin   d’infiltration (dans le sous-sol). Un forage permet enfin de récupérer les eaux « stockées » dans le sous-sol.
Bordeaux Métropole vous explique.